Zarathoustra, cependant, regardait le peuple et s’étonnait. Puis il dit :Pour le contexte cliquez sur le lien, livre à lire en ligne.
L’homme est une corde tendue entre la bête et le Surhomme, -une corde sur l’abîme.
Il est dangereux de passer de l’autre côté, dangereux de rester en route, dangereux de regarder en arrière- frisson et arrêt dangereux.
Ce qu’il y a de grand dans l’homme, c’est qu’il est un pont et non un but : ce qu’on peut aimer en l’homme, c’est qu’il est un passage et un déclin.
J’aime ceux qui ne savent vivre autrement que pour disparaître, car ils passent au-delà...
J'ai trouvé cette jolie métaphore dans l'exposition du Musée de Grenoble "Die Brücke", du nom du mouvement d'avant garde allemand (1905-1911) , initiateur de l'expressionnisme. Je vous recommande chaudement l'exposition à voir avant le 17 juin 2012.